Microbiote intestinal

Quelles clés pour garder un vagin en bonne santé ?

Toute femme ayant déjà souffert d’une infection vaginale sait à quel point il est désagréable que l’équilibre du vagin soit perturbé.

Comment peuvent faire les femmes pour garder leur vagin en bonne santé ? Tout dépend du microbiome vaginal et des bonnes bactéries

Nous avons rencontré Sarah Lebeer pour en savoir plus sur le sujet.

« Il est temps de regarder le corps féminin autrement ! »

De nombreuses plaintes féminines ne sont pas diagnostiquées, et rapidement considérées comme du stress, de la dépression, de l’anxiété et de la panique, alors qu’il s’agit d’une souffrance sous-jacente.

Il est temps d’accorder une attention suffisante aux problèmes spécifiques aux femmes.

Lisez l’interview avec la gynécologue Manon Kerkhof

Notre intestin est le chef d’orchestre de notre santé

Au cours des dernières décennies, l’intestin a fait l’objet d’un intérêt croissant en tant que “conducteur” de notre santé.

Les recherches montrent que les 38 000 milliards de bactéries présentes dans notre intestin interviennent dans de nombreux processus de notre organisme, dont le transit, l’immunité, la régulation de la faim…

Voyons maintenant avec le prof Bruno Pot si le microbiome des femmes diffère de celui des hommes.

Sommeil, stress et SII

L’importance du microbiote n’a pas fini de nous étonner. Les études se multiplient, débouchant en permanence sur de nouvelles connaissances et de nouveaux terrains de recherche. L’une d’elles a récemment montré que les micro-organismes présents dans notre intestin pourraient jouer un rôle régulateur sur le sommeil, le stress et le syndrome de l’intestin irritable (SII).

Microbiote intestinal et COVID-19 : quel rapport ?

Le coronavirus provoque une surréaction du système immunitaire qui peut entraîner de graves risques pour la santé. Soutenir le mécanisme de défense pourrait avoir un effet bénéfique sans le stimuler davantage. Microbiote intestinal et COVID-19 faisons le point. 

Microbiote et système immunitaire

Un des rôles du système immunitaire est de protéger le corps des micro-organismes pathogènes. Il se charge aussi d’éliminer les structures cellulaires étrangères (notamment les tissus nécrotiques ou morts et les tissus tumoraux). Il dispose à cet effet de mécanismes aspécifiques, innés, et de mécanismes spécifiques, acquis.

Effets de la nutrition sur le microbiote intestinal: le point

Cette revue de la littérature met en lumière l’importance de l’alimentation sur la composition du microbiote intestinal, avec ses effets bénéfiques et ses effets potentiellement néfastes.

 L’axe intestin-cerveau et la santé mentale

Les scientifiques en savent de plus en plus sur l’interaction fascinante mais complexe entre le cerveau et les intestins. Le webinaire « The gut-brain-axis: explained » organisé par Yakult Science for Health en septembre était l’occasion de parler des découvertes récentes. Quatre experts se sont ainsi attardés sur l’influence particulière de l’axe intestin-cerveau sur la santé mentale.

Syndrome métabolique

L’obésité est un problème majeur avec des conséquences graves pour la santé [1]. D’autres désordres chroniques viennent se greffer à l’obésité, tels que le syndrome métabolique, de résistance à l’insuline, qui fait parler de lui depuis quelques années.

Environ 25% de la population adulte mondiale est touchée par le syndrome métabolique, avec un risque très élevé de contracter des maladies cardiovasculaires, tels que la crise cardiaque ou l’AVC [1].

Le pouvoir des micro-organismes

L’influence sur notre santé de ces organismes invisibles à l’œil nu est de mieux en mieux connue. Les micro-organismes ne jouent pas « seulement » un rôle important au sein de notre système digestif, mais aussi pour notre  « deuxième cerveau ».

Composition du microbiote selon l’endroit

Chaque partie du tractus gastro-intestinal a sa propre microbiote spécifique, adaptée à l’environnement local (pH et teneur en oxygène).

C’est ainsi que dans l’estomac, le pH est plus faible et dans l’intestin grêle, la teneur en oxygène est plus élevée que dans le côlon. L’estomac est relativement peu peuplé avec 103 UFC/ml.

Immunité, microbiote et vitamine D sont liés

Le manque de vitamine D aurait des répercussions sur le fonctionnement de l’immunité et favoriserait le développement de maladies auto-immunes.

Notamment par les effets d’une carence en vitamine D sur le microbiote intestinal et la fonction barrière de la paroi intestinale, selon ce nouveau modèle.

Rapport de webinaire : Hygiène bucco-dentaire et dénutrition chez les seniors

La dénutrition est liée à la perturbation du microbiote. Et la santé bucco-dentaire des personnes âgées est un facteur important à cet égard.

Lors du webinaire organisé par Yakult aux Pays-Bas “Vieillir en bonne santé”, trois experts ont expliqué le lien entre la dénutrition et la dysbiose intestinale.

La santé mentale et l’axe cerveau-intestin

Jeune mais en plein essor, la recherche sur l’axe cerveau-intestin met en évidence un lien important avec la santé mentale.

Par exemple, des études récentes associent le microbiote intestinal à des maladies comme la dépression et la schizophrénie.

Dépression et microbiome intestinal

Un quatrième entérotype a récemment été découvert suite à des recherches scientifiques, il est de nature dysbiotique. Celui-ci a un lien avec diverses pathologies, dont la dépression. C’est une des principales conclusions de la présentation du Prof. Raes lors du séminaire “L’axe intestin-cerveau clarifié”. Redécouvrez-la.

Le regard du gastro-entérologue sur l’axe intestin-cerveau

L’axe intestin-cerveau est un canal de communication fascinant entre ces deux organes. Ce lien complexe mais passionnant a été abordé par le Prof. Brummer, gastro-entérologue, lors du séminaire “L’axe intestin-cerveau clarifié”. Redécouvrez l’enregistrement.

Hypothèse de l’hygiène révisée

On a longtemps cru que notre mode de vie ‘ultra-propre’ était à l’origine de l’augmentation constante des maladies de civilisation comme les allergies et maladies auto-immunes.

Cette hypothèse de l’hygiène suggérait qu’une diminution de l’exposition aux vecteurs de maladies, comme les bactéries pathogènes et virus, était à l’origine de ces maladies de civilisation.

La solution prônée était de vivre et manger moins hygiéniquement. Néanmoins, cette hypothèse ne répondait pas à toutes les questions que l’on se posait et elle a suscité pas mal de discussions.